CCAS de Longuenée-en-Anjou
Florence Lucas, vice-présidente du CCAS de Longuenée-en-Anjou, devant la résidence autonomie pour les personnes âgées, située à La Meignanne, qui est l'un des principaux lieux de demande pour le transport solidaire.
A Longuenée-en-Anjou (Maine-et-Loire, 6 500 habitants), une vingtaine de personnes font, chaque mois, appel à un conducteur bénévole pour se rendre à un rendez-vous médical ou administratif. Dans cette commune nouvelle, ce service de transport solidaire existe depuis 2012. À l’époque, il ne concernait que La Meignanne. Depuis 2016, cette commune a fusionné avec celles de La Membrolle-sur-Longuenée, le Plessis-Macé et Pruillé. « Lorsque Longuenée-en-Anjou a été créée, nous avons aussitôt étendu le transport solidaire à toutes les communes pour rompre l’isolement des personnes », explique Florence Lucas, vice-présidente du CCAS qui gère ce service. La raison ? Lui donner une légitimité. Pour faciliter l’accès à ce service, la commune a choisi de ne pas imposer de limite d’âge. Seules obligations : être majeur et résider à Longuenée-en-Anjou.