Cette réforme, adoptée en 2022, vise à améliorer la transparence, à simplifier, à responsabiliser tous les acteurs avec une juste répartition au regard des réalités, des pratiques de travail. Mais nous nous interrogeons sur son application. Les jurisprudences rendues jusqu’à ce jour et des affaires en cours impliquant des collègues nous alertent car nous constatons une forme d’automatisation de la sanction.
Les directions générales sont mises en cause, parfois au-delà : c’est toute la ligne managériale qui peut être concernée jusqu’aux agents, sans que soit prise en compte la réalité, la bonne foi, les conditions de travail.
Une secrétaire générale de mairie a, par ...