L’État souhaite au préalable «identifier les zones les plus critiques ». Les agences régionales de santé (ARS), les préfets et les élus locaux devaient ainsi identifier, d’ici à la fin du mois de mai, «des “zones rouges”, à l’échelle de l’intercommunalité, au sein desquelles une permanence médicale devra être mise en place en absolue priorité ».
Dans ces territoires prioritaires, sans toucher au principe de liberté d’installation des médecins, le gouvernement veut «instaurer une mission de solidarité obligatoire pour les médecins ». Ainsi, «les ...