Cette évolution s’explique par plusieurs raisons, personnelles, écologiques, économiques. Elle permet aux collectivités de solutionner en partie la saturation de plus en plus de cimetières. En 1980, la France comptabilisait moins de dix crématoriums. On en dénombre un peu plus de 220 à l’heure actuelle.
Réalisés à l’initiative de villes ou d’intercommunalités, ces équipements sont très inégalement répartis sur le territoire. Les départements les mieux lotis en ce domaine sont, sans grande surprise, ceux qui comptent le plus d’habitants comme le Nord, les Bouches-du-Rhône ou ...