C’est un fait : les communes et leurs groupements n’agissent plus uniquement selon la seule législation française. Corollaire : la reconnaissance de leur rôle doit encore davantage s’affirmer au sein de l’UE.
Si les demandes de l’AMF s’adressent aux eurodéputés français en priorité, «elles seront aussi diffusées plus largement à la Représentation de la France auprès de l’Union européenne, à la commission des affaires européennes de l’Assemblée nationale et du Sénat, au Secrétariat général des affaires européennes, à l’Agence ...