« Le déclic me vient avant les dernières élections municipales de 2020, quand je ne suis “ que ” citoyen. La municipalité d’alors décide de réduire la population de pigeons en recourant au tir à la carabine. Pour moi, c’est inacceptable. Je me dis qu’il doit exister des moyens moins brutaux de réguler ces animaux dans une ville où, effectivement, ils font des dégâts : chaque année, un pigeon génère 12 kilos de déjections, ce qui impacte le patrimoine ou la voie publique. En 2020, je suis élu et, assez vite, moi qui adore faune et flore, je sens que mes collègues sont prêts à me confier le “ dossier pigeons ”. Je leur dis que je veux bien imaginer des solutions mais qu’elles respecteront la vie animale. J’ai besoin de temps et de moyens. Le maire me dit “ ...